L’atmosphère qui s’en dégage ressemble davantage à l’île de Pâques ou d’Hawaï. Avec seulement 4 heures de vol et 30 minutes de décalage horaire depuis Tahiti, on se retrouve dans un autre monde, c’est tout le charme de cet archipel si bien préservé ! Entre le tapa, les danses marquisiennes, le ma’a marquisien, les marae, les tatouages patutiki… Les Marquises mettent l’accent sur leur différence, rien de mieux que de commencer sa journée avec le plaisir de découvrir et de se laisser surprendre par la beauté des paysages.
Ces îles sont les plus jeunes de la Polynésie Française, c’est pourquoi ses montagnes sont si pentues, ses faîtes et ses crêtes si vertigineuses. On y trouve une extraordinaire densité de fougères arborescentes.
Hiva Oa captivante, Hiva Oa fascinante.
Nuku Hiva Kaoha Nui, Nuku Hiva éloigné mais Nuku Hiva attachante.
Des balades équestres aux croisières sur le Pacifique, l’archipel des Marquises ne cessera de te séduire.
Sites archéologiques uniques au monde, paysages hors du commun et artisanat varié, cet archipel est complètement différent des autres beautés de la Polynésie. Dépourvu de lagons, les paysages marquisiens sont constitués de côtes abruptes et de baies laissant découvrir des falaises majestueuses !
Le patutiki est issu du tatouage marquisien, une marque de beauté qui faisait partie des exigences sociales et marquait l’appartenance à une tribu. Dans le respect de la tradition, les tatoueurs utilisent des peignes en os ou en écailles de tortues aux dents pointues fixés sur un manche pour réaliser de véritables œuvres d’art. C’est aux Marquises que cet art est le plus développé et le plus raffiné !
Le tapa, à l’époque, servait de vêtements ou de voilures. Pour cela, on utilisait la racine de banyan, l’écorce de l’arbre à pain ou même l’écorce de mûrier. Les marquisiens s’appliquent à calligraphier les symboles polynésiens sur les tapa afin de transmettre ce savoir aux jeunes générations.
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